Un tourisme plus local, plus « lent », plus proche de la nature et de ses habitants a le vent en poupe cette année. Mais tiendra-t-il lorsque la menace sanitaire aura disparue ? Ne sommes nous pas définitivement drogués aux voyages lointains, hyper-standardisés et climaticides ? N’oublions pas aussi que ce « tourisme doux » a ses règles, en particulier le respect des propriétaires de terrains.
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- Vers un tourisme plus « doux » ?