Des chercheurs grenoblois ont mis en évidence que les nanoparticules des encres s’infiltrent
jusque dans les ganglions lymphatiques et peuvent y rester à vie.
Selon le reportage de FR3 Auvergne-Rhône- Alpes, le danger des tatouages ne réside donc peut-être plus uniquement dans le non-respect des normes sanitaires ni dans l’emploi d’aiguilles plus ou moins propres.